Au québec, les smileys s'appellent les émoticons, contraction de "émotions" pour ce qu'elles expriment, et "icônes". Heureusement que nos amis québecois sont encore là pour défendre ce qui reste de bribes de la langue française au délà de nos frontières gauloises! Sans compter tous nos jeunes ados qui, sur Internet, donnent leur langue au Chat...Quand les québécois contractent nos mots, nous nous accordons une décontraction avec notre belle langue qui n'est pas de bon augure. Vive le Québec libre disait De Gaulle, je dirais plutôt "vive le français libéré"... A quand un Québecois à l'Académie française ?
Bien voilà en pâture quelques délires personnels et autres loufoqueries qui me sont venues alors que je traversais les grandes plaines canadiennes.
Les allemands sont des gens toujours débordés! La preuve: en 1940, grâce à eux les français aussi étaient très occupés;-)
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Mon père est démonteur.
On me demande souvent en quoi cela consiste. Je l'ignore.
Je sais juste que ma mère est démontée...
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Dans le marais, aussi, les téléphones s'enfilent
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Je n'ai pas de maître à penser. Comment, avec mon goût pour la liberté, pourrais-je accepter que quelqu'un m'oblige à me mettre à penser. Pensez-vous !
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Les financiers sont des hommes d’actions, et moi un homme d’obligations! Mais je crois que le mot le plus juste serait un homme de devoir.
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Je joue des instrument après comme d’autres jouent des instruments avant...
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Mon fils me demande de l'aider à réviser ses conjugaisons.
Deux verbes: Etre et Avoir.
Finalement la vie ne se résume-t-elle pas à ces deux extrêmes ?
Tous le reste n'est que littérature et nuances de sens.