Descendre au bureau de tabac, faire la queue, acheter un paquet de cigarettes, deux par précaution, remontez, attendre l’ascenseur, chercher la clé sur le trousseau, s’installer confortablement sur le moelleux d’un canapé, s’échiner à ouvrir le cellophane, arriver à s’en débarrasser alors qu’il colle à la main, ouvrir le paquet, sortir une clope, chercher le briquet qui n’est jamais là où on l’avait mis, allumer la cigarette. Tout cela m’épuise.
Ils ont finalement raison: Fumer me tue!
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