Je suis à mort pour les jeux de mots! Petite réflexion matinale sur ce drôle (!?) de thème:
J'ai assisté récemment à l'incinération d'un homme qui s'était suicidé quelques jours auparavant.
On m'expliqua avec force détails, qu'on le retrouva pendu dans ses toilettes.
Drôle de fin pour un ancien chef de cabinet, me dis-je en passant.
Il ne laissa aucune explication sur les raisons de sa mort.
Les personnes présentes à la cérémonie y allèrent de leurs conjectures...
Je mis soudainement un froid (enfin si j'ose dire...) dans l'aimable assemblée quand je déclarai "qu'un homme qui se pend dans des toillettes devait être au bout du rouleau".
Je repartis dépité que personne ne soit mort de rire...à ma fumeuse boutade. Seule une jeune femme s'étrangla et me fit remarquer en sortant que je ne manquais pas d'air. "Contrairement au défunt" faillis-je dire, mais je me retins, en pensant à cette phrase de Pierre Desproges qui faisait remarquer que l'on doit rire de tout, mais pas avec n'importe qui. Et comme je ne suis pas n'importe qui ! Je préfère ne pas m'exclaffer en ma propre présence;-))
Bref, j'espère que ce brave homme, compte tenu des circonstances, lorsqu'il arriva au Paradis, organisa une grande fête pour fêter sa dernière et éternelle demeure. C'est ce qu'on appelle, là haut, une pendaison de crémation.
Promis! j'arrête...
PS: Il paraît qu'un pendu bande !
Moi qui pensais qu'il avait le noeud coulant...
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